Hier, mon état physique était très faible. J’avais passé une nuit difficile, ponctuée de grelottements, vomissements, maux de tête sur l’hémisphère droit, raideurs douloureuses à la nuque et autres petits désagréments. Je venais de demander à JE SUIS de retirer de mes cellules le programme installé en moi par ma mère et qui était son programme à elle, et d’installer à la place mon programme personnel, spirituel, celui de mon âme. Ce n’est pas la première fois que je fais cette demande et j’avais déjà expérimenté en janvier les symptômes physiques de ce changement cellulaire. Hier, alors que je recevais Marie-Christine à l’Oliverie, je n’ai pas pu faire autrement que jeûner, dormir à deux reprises dans la journée et sans cesse ressentir une immense fatigue. J’ai dormi profondément la nuit dernière et ce matin, je me suis réveillée avec une énergie formidable et la sensation d’avoir ressuscité. Je sens que le « programme JE SUIS » est installé en moi.
Vendredi soir, à l’apparition des premiers symptômes j’ai d’abord reconnu les signes annonciateurs d’un herpès qui chez moi, est le langage corporel de la honte. J’ai traité la question de la honte d’abord refoulée et l’herpès a été enrayé, ne laissant qu’une petite sensibilité à l’intérieur de la narine droite. Ce soir, en faisant le bilan de cet épisode maladif inhabituel, j’ai enfin trouvé le nom que je cherchais et qui pouvait correspondre aux symptômes de ma nuit infernale : la méningite (inflammation des méninges, c’est-à-dire des membranes qui recouvrent le cerveau et la moelle épinière). Certes, je n’ai pas eu de méningite, sinon, je ne serais pas là ce soir à écrire, mais par contre, je veux bien croire que mes méninges se sont affolées quand il s’est agi de laisser définitivement le « programme Germaine » pour installer le « programme Marie-Odile ». Je les remercie de leur coopération très active.
La guidance d’aujourd’hui, menée par la conscience d’Antarès, a permis d’activer le soleil du cœur humain, en même temps que le soleil intérieur de la terre. Il a fallu ensuite travailler l’épiderme des humains en même temps que la croûte terrestre. Tout cela avait vocation à faire en sorte que les soleils intérieurs puissent briller sans être arrêtés par les enveloppes externes que sont la peau et l’écorce terrestre.