audio – Créateur, Création, Créature

medmo 15/05/2019
medmo 15/05/2019

La Trinité « Créateur/Création/Créature » a été au centre de la guidance de ce jour. Nous dissocions encore le Créateur de sa création, et les créatures que nous sommes se croient de surcroît à part de tout cela. Le séparateur, autre appellation possible du diable que notre pensée humaine a créé, fait son travail à la perfection. Bien heureusement, l’Esprit et ses ambassadeurs cosmiques accomplissent eux aussi leur mission à la perfection et le souffle de l’Unité balaye en ce moment notre conscience. JE SUIS est le créateur, notre corps est sa création et « je » la créature qui a le libre arbitre pour mener l’expérience humaine. La voie de l’unification rassemble les 3 plans et c’est une véritable joie.

Transcription faite par Sandrine Pochard, non revue par l’auteur.

Je suis la totalité de moi, je suis un tout, JE SUIS ce que JE SUIS, Esprit et matière unis en moi, humanité et divinité soudées par moi, ici sur la Terre. En activant la conscience de mon unité, j’élève ma fréquence. Je me reconnais dans ce que JE SUIS de toute éternité, ce que JE SUIS au plan subtil, vibrant. Je me reconnais dans mon essence et sa manifestation ici dans le physique, dans le dense. Et ainsi je peux dire :

Je suis ce que je suis
Je suis présence divine
Je suis ce que je suis
Je suis présence divine
Je suis amour
Je suis lumière
Je suis énergie et je nage dans le mouvement de la vie

J’ouvre ma conscience aux forces de l’Esprit, à la puissance de l’Amour absolu. Je m’ouvre totalement à la divine guidance pour accomplir aujourd’hui, l’action dont l’humanité et la Terre ont besoin pour leur évolution. L’action dont j’ai besoin pour contribuer à l’évolution, pour accomplir l’engagement que j’ai pris, que je désire assumer en étant propulsée ici sur la Terre par l’Esprit que JE SUIS.

Je sens ma solidité, mon ancrage, mon arrimage à la Terre et je laisse grandir dans ma conscience la réalité de mon ancrage céleste, la réalité de ma communion avec les fréquences les plus élevées, là où la connaissance est totale. Là où aucune limite n’est posée, là où le Tout peut-être capté.

Je rends grâce à l’archange Michaël, à son épée qui m’aide à être un maître.

Je rends grâce à Marie, conscience de la Terre, Mère divine pour l’amour inconditionnel qui remplit chacune de mes cellules.

Je rends grâce au Maître Cristal pour l’infaillible présence qui consolide ma structure.

Je rends grâce à Jésus, mon frère, mon compagnon de route qui éclaire la voie que j’empreinte chaque jour, chaque instant.

Je vous rends grâce, vous quatre d’être là pour assurer ma base, pour assurer ma présence dans mon corps, dans ma réalité terrestre et me permettre ainsi de hisser mon Je au sommet de mon Être, dans mes sphères les plus élevées, là où la lumière pure fait vivre la vérité, là où l’Amour absolu remplit mon c?ur, là où l’énergie vibre de manière visible.

Je sens mon corps qui s’expanse, je sens une ouverture se faire à l’intérieur de moi et qu’au fur et à mesure ma conscience se vide des pensées, des préoccupations humaines afin d’être totalement ouverte à la guidance de cette journée.

Je vois quelques êtres qui viennent à ma rencontre, ce sont des troubadours, des êtres facétieux, des êtres joyeux qui se présentent en dansant, en sautillant, en exprimant leur liberté et leur joie. Ce sont des mats, la carte du mat dans le tarot, des arlequins, voilà, le bouffon.

Ils sont quatre ou cinq. Comme ils se cachent beaucoup, ils sont joyeux, facétieux, je ne sais pas trop, c’est cinq, un pintagramme. Celui de la folle sagesse et de la liberté obéissante, de l’obéissance libre, de la folie sage.

Nous te proposons de mettre un peu de charivari dans ton organisation intérieure. Nous te proposons de renverser quelques croyances, quelques valeurs, quelques habitudes qui sont encore chez toi. Et bien-entendu, ce que nous faisons pour toi, nous le faisons pour l’ensemble de l’humanité. Et il y a fort à faire, crois moi, dit le représentant de ces cinq.

« Nous sommes cinq, comme le chiffre qui représente l’humain dans votre numérologie. En effet, l’un de nous est à la place de la tête. Deux d’entre nous sommes à l’extrémité des bras et les deux autres à tes pieds. Cela fait cinq, n’est-ce pas ? »

Je les sens qui s’installent justement dans ces places qu’ils ont cité. Alors, je n’arrive pas à savoir si je me sens allongée ou debout ou les deux en même temps. Voilà c’est çà le charivari, c’est que c’est les deux en même temps, dés que je me sens allongée, hop, je me sens debout, dés que je me sens debout, je me sens allongée.

Ils me disent, « l’exercice commence bien, n’est ce pas ? » Oui, donc en fait, ce qui m’est proposée, là c’est de ne pas savoir si c’est debout ou allongé, mais de savoir qu’il y a un mouvement permanent.

Ce pintagramme se met en volume et c’est comme ci j’étais brassée à l’intérieur, gentiment, comme si je marchais, je faisais rouler cette forme, je la faisais se déplacer en marchant dedans et ce qui fait que le troublion qui se trouvait à la tête, peut être au pieds. C’est ça, rien n’est fixe.

Ils me disent, « tu es une bonne élève, tu apprends vite, peut-être contiens-tu cette folle sagesse ou bien cette sagesse folle ? Peut-être contiens-tu cette obéissance libre, cette liberté obéissante ? » Alors, je dis oui, je contiens cela. Et je sais que si je vois ces deux aspects d’un point de vue humain, je suis embarrassée. « C’est bien pour cela que nous te prenons en charge. C’est bien pour cela que nous voulons t’inviter à ne plus être embarrassée parce qui te paraît être des contradictions ».

Voilà, alors maintenant, je vois ces mêmes êtres qui prennent des instruments de musique très médiévaux en fait, j’entends le mot fifre. Je ne sais pas trop ce qu’est un fifre, c’est une flûte. Fifres, grelots, tambourins.

Ils créent une musique très guillerette, très joyeuse. Et en même temps, j’ai l’image d’un cortège funèbre. Voilà, c’est l’inverse de ce que font les humains. « Les humains créent des musiques sombres pour accompagner le passage de la vie terrestre à la vie céleste et nous t’informons que dans l’au-delà, c’est l’inverse lorsqu’une âme quitte son corps alors nous entonnons des chants joyeux, nous sortons le fifre, les grelots et le tambourin pour créer une musique extrêmement pétillante qui va permettre à l’âme de s’élever ».

Et je vois d’ailleurs de ce fait, ce cortège funèbre tel qu’on le voit chez les humain avec beaucoup de noir, de sombre. Je vois ce cortège devenir un carrosse d’or. Le cercueil devient un carrosse d’or et effectivement, un être royal y figure à la place du cercueil dans lequel il était. Je comprends là, que l’on me montre la naissance de l’être lorsqu’il sort de sa condition humaine.

Le charivari continue, un espèce de cortège très simple, ils sont cinq. Et petit à petit, je vois que des êtres se rassemblent au passage de ces cinq mats, arlequins, bouffons. Ils ont tous des serpentins, tout ce que l’on utilise nous, quand on veut se faire croire qu’on est joyeux dans les fêtes.

Des gens qui arrivent étonnés dans ce charivari, ils sont même un peu méprisant, l’air de dire qu’est-ce-qu’ils nous font là ? Tout d’un coup ces personnes, certaines d’entre elles se mettent à suivre les cinq. Ceux qui étaient figés, raides, guindés deviennent souples, mobiles, leurs vêtements se colorent, leurs visages s’éclairent, ils commencent à chanter. Et arrive un cortège, comment dire, pas du tout celui d’un carnaval, par exemple avec des excès, pas du tout. On sent au contraire quelque chose de la liberté qui se gagne .

Ils me disent, « c’est l’apprentissage de la liberté. Une liberté qui n’est pas de faire n’importe quoi, que cela intervient quand vous organisez des festivités pour libérer ce que vous avez refoulé. Il s’agit là d’une liberté qui permet à chacun d’avoir envie de suivre son moi divin.

Et c’est cela qui se passe lorsqu’un être humain se met à obéir à son moi divin, il devient libre. Lorsque un être humain se met à se défaire de ses conventions humaines, de ses croyances humaines, il entend sa voix intérieure et il exerce sa liberté en suivant scrupuleusement ce qu’il lui est indiqué par son JE SUIS, par son essence divine. Chacun alors trouve la place qui lui convient, chacun alors comme dans l’essaim des abeilles trouve la fonction qui lui revient » .

Voilà, je sens que tout ce charivari est là pour juste préparer ma conscience à une rencontre avec un soleil parce que ce cortège accompagné par les cinq, représente l’humain affranchi de ses codes sociaux. L’humain est totalement libre d’être lui, lui dans sa divinité.

C’est très grand, je ressens tout à coup quelque chose dans mon corps qui s’agrandit comme si je devenais grande, adulte. C’est ça, je sors de l’enfance et c’est ce que je dois aujourd’hui, apporté à la conscience humaine : la sortie de l’enfance, la véritable liberté, la souveraineté, l’autonomie, la royauté.

Il m’est dit, « tu peux te comporter aujourd’hui, comme si tu étais déjà morte, sortir du tombeau, sortir du cercueil, et voir le carrosse dans lequel tu es installée ». Il s’agit bien de cela aujourd’hui pour l’humanité. Aider l’humanité à sortir de son cercueil, de la mort partielle dans laquelle elle est plongée pour entrer dans la véritable vie.

Je vois que les cinq qui ont parfaitement accompli leur mission, s’effacent. Que je prends la tête du cortège de l’humanité, que j’avance un peu plus sur le chemin.

Je me dirige vers une source lumineuse qui n’éblouit absolument pas, c’est une lumière qui émet sans éblouir, c’est une lumière qui invite à aller en elle.

C’est une lumière spirituelle qui n’a rien avoir avec la lumière que nous observons sur la Terre. Elle émet, c’est vraiment une lumière intérieure, on ne peut qu’aller en elle, elle ne sert pas à éclairer ce qui l’entoure. Elle sert à inviter à venir en elle.

J’ai cette sensation et j’ai très envie d’expérimenter cette lumière qui éclaire quand on est à l’intérieur d’elle et qui n’est pas vraiment comme le Soleil qui nous éblouit parfois et que l’on ne voit pas si bien, quand il est à son zénith.

Là, ce n’est pas une lumière qui a une source extérieure, c’est une lumière qui a une vie par elle-même. Il n’y a pas une source lumineuse. Je suis dans la lumière. Tout est clair, facile à voir.

Je sens que je suis accompagnée de Melchisédech, Arcturius est aussi derrière moi. Il m’est demandé de dire, que je suis au-delà des particules de lumière, c’est une lumière non particulaire, qui n’a aucune substance, aucune matière. Je suis dans l’information de la lumière.

Je sens que cela provoque une très grande ouverture dans mon c?ur, dans la cage thoracique. Je rentre dans l’instant présent, dans l’éternité de l’instant présent. Il n’y a pas vraiment de mots, il y a nécessité de m’imprégner de cela et pourtant il faut que je parle, sinon ma pensé s’oppose, mon mental voudrait s’opposer à cela.

Et j’appelle d’ailleurs l’archange Michaël pour m’aider à maîtriser le mental. Voilà, c’est mieux. Ma conscience peut de nouveau se consacrer entièrement à l’expérience. Là, je peux dire JE SUIS, le mot ETRE prend ici tout son sens. Je suis un ÊTRE, je suis ESPRIT.

Je sens mon corps qui s’agrandit, s’agrandit et en même temps, il n’y a pas d’espace là où je suis. S’agrandir n’est même pas le mot exact. Je pourrais dire mon corps se dilue dans cette lumière non substantielle, non particulaire. Et là, cela me ramène à qu’est-ce-que je viens chercher pour l’humanité ?

Il m’est dit, « tu viens chercher de quoi dissoudre les voiles, les nombreux voiles qui recouvrent la conscience, qui occultent la vérité de la vie sur la Terre. Il est temps vois-tu, que vous compreniez maintenant les véritables aspects de la vie terrestre. Temps pour votre mère qui vous donne sa chair, pour que l’Esprit se manifeste dans l’humanité, temps pour l’humanité elle-même, cette espèce, mandatée par l’univers, par les hautes sphères pour vivre la liberté. »

C’est incroyable comme ma pensée fait des offensives en prenant n’importe quel prétexte, le souvenir de ce que j’ai fait hier soir, une mouche qui passe, peu importe. Mais ma pensée voudrait vraiment que je reste au niveau humain, elle fait obstacle dès que j’arrive sur la marche qui me permet d’être dans cette vérité pure, la pensée me ramène à ma vibration plus basse.

Et donc je dis à ma pensée, qu’elle est bienvenue dans cette vibration haute et qu’elle va pouvoir en bénéficier aussi. Cela ne s’oppose pas du tout à elle, au contraire elle a la capacité totale à comprendre et justement à accueillir l’information pour la traiter, pour ensuite la diffuser.

Voilà, et plutôt que de jouer l’opposition, elle pourrait tout à fait trouver une grande joie à venir dans ma conscience avec moi, en étant en position d’apprentissage. Je sens que cela fait du bien à cette partie de moi qui renâclait. Oui, elle me dit oui, parce qu’il faudrait encore une fois que je remette en question ce que je sais. Absolument, c’est bien la proposition qui nous est faite depuis le départ de cette guidance.

Quelque chose s’ouvre, quelque chose s’apaise. L’harmonie revient. Il y a juste à déposer.

J’accepte de recevoir en moi, dans mon corps physique, dans mon corps éthérique, dans mon corps astral, dans mon corps causal ce qui permet de dissoudre les voiles. J’accepte d’accueillir la substance subtile qui permet d’accéder à la vérité totale, à la compréhension de la véritable vie organisée sur la Terre.

Je vois maintenant des êtres très, très subtils, très purs, je ne peux pas dire que je vois leurs formes parce qu’il n’y en a pas. Je sais leur présence et je sais que se sont les êtres qui ont, comment dire, organisé la création de la conscience humaine, la création de la Terre, du système solaire et je peux dire qu’il y a une intention véritable.

J’accède à l’intention spirituelle de la création de la Terre et de l’humanité, de la création de l’expérience humaine. Il y a une intention et c’est ce que l’on me demande de venir chercher. C’est une intention, une intention d’amour infini. C’est une intention de faire triompher l’amour.

L’amour se projette, se manifeste, donne de l’autonomie à ce qui est manifesté pour sa propre croissance en fait. Il escompte que de cette manière, ce qu’il a crée, ce qu’il va créer qui est donc amour, puisque c’est lui-même, va par l’autonomie, par la liberté, par sa propre volonté, cette chose manifestée va se reconnaître dans l’amour, se rappeler l’amour. Il va donc en le choisissant, le faire grandir l’amour, et l’amour exulte de joie à cette perspective .

Il est important que j’accepte de prendre en moi cette intention d’amour des êtres qui ont choisi d’organiser l’expérience du système solaire. Je sens que je suis vraiment là, à l’origine, la racine du système que nous expérimentons avec notre conscience humaine.

Et ce qui est dit, « c’est que chaque être humain va désormais pouvoir accéder en lui-même à cette intention d’amour de ceux qui ont organisé la création du système solaire et de la conscience humaine.

Il ne faut surtout pas concevoir que vous, les humains, vous êtes absents de cette intention, car vous êtes vous-mêmes les organisateurs. Vous êtes le fruit de votre propre création. Il n’y a pas un être supérieur qui aurait décidé pour vous-même, de la création de cette expérience, de l’organisation de cette expérience. Lorsque tu rencontres les organisateurs de l’expérience de la conscience humaine et du système solaire, tu te rencontres toi-même, ainsi que chaque habitant de la Terre peut le faire. »

A l’image du charivari de toute à l’heure, je crois que là effectivement, il est possible de dire que l’on rencontre, que je rencontre l’autorité et la liberté. L’autorité du décideur, qui a l’intention et qui crée et la liberté, qu’il donne à sa création. Et donc je suis les deux, je suis à la fois, le créateur et la création, chaque être humain est le créateur et la création.

Chaque être humain est le décideur et l’être libre. Le décideur n’a pas autorité sur l’être libre. Le créateur n’a pas autorité sur sa création. Création et créature ne sont qu’un. La créature gère la création, librement.

Cela provoque un peu un mal à la tête, un craquement dans la maison. Il y a quelque chose que mon système cognitif a un petit peu de difficulté à comprendre. C’est mon cerveau gauche qui fait très mal, du front jusqu’à la nuque, il y a comme un arc.

Créateur, création, créature. Je sens que mon cerveau gauche voudrait séparer ces trois choses qui ne sont qu’une et qui sont pourtant trois aspects avec des possibilités spécifiques. Ce que je sens, c’est de dire que, dès que la créature fait quelque chose avec la création, elle impacte directement le créateur.

Évidemment, c’est la même chose avec le créateur. Dès que le créateur émet quelque chose vers sa création et vers sa créature, cela a un impact. C’est plus évident, cela semble être supérieur. Hors là, voilà, il n’y a pas de supériorité, il y a une symétrie, une égalité totale. Le créateur n’a pas plus de pouvoir que sa créature.

La créature a le pouvoir de détruire la création et le créateur s’engage à le laisser faire si bon lui semble. Si cela est bon pour sa propre expérience.

Le créateur s’engage à donner toujours plus de lucidité à la créature. C’est sa seule marge de manoeuvre, sa seule possibilité d’action. Je vois le créateur, aspect de nous même qui souffle, souffle l’amour, qui rayonne, rayonne la lumière. Mais comme ce n’est pas une lumière semblable à celle de sa création, la créature ne le voit pas forcément. Il ne la voit pas forcément parce que la lumière envoyée par le créateur est une lumière intérieure, tandis que la créature est souvent aveuglée par la lumière de la création. Parce que le propre de la création c’est d’être à l’extérieure du créateur et à côté de la créature .

J’ai une violente douleur à la nuque gauche. Je sens que ce qui est à faire là tout de suite, c’est de former une unité entre créature et création. Parce que la dualité vient de là, la créature se croit séparée de la création, différente de la création, supérieure à la création. La créature, la conscience humaine, se croit possesseur de la Terre, donc de la création.

La créature croit qu’elle a des droits sur la création. Le créateur pourra reprendre la responsabilité de la création car c’est la créature qui a le libre arbitre.

La création, elle, reste sous la responsabilité du créateur. Il faut voir dans la chronologie en fait, il y a la création et la créature qui vient après la création. C’est comme une espèce de manifestation ultime du créateur.

La création n’a pas de libre arbitre, c’est la créature qu’il l’a. Sans cesse il m’est rappelé cela. Et par conséquent, le créateur peut agir sur la création, mais il laissera sans cesse la créature faire ce que bon lui semble, car tel est son engagement, tel est votre engagement. Car, il m’est dit « une fois de plus, tu as mis de côté le fait que vous êtes les créateurs, vous les humains. Vous avez voulu la création et vous avez créé de vous-même les créatures que vous êtes. »

Ce que je viens chercher aujourd’hui, c’est une grande réconciliation intérieure, de la créature avec elle-même. La créature est invitée aujourd’hui, l’humanité est invitée à se réconcilier avec le créateur qu’elle est elle même, avec la création, avec laquelle elle a procédé. C’est perdre l’arrogance.

« En retrouvant le créateur que vous êtes, vous allez perdre votre peur, vous allez en finir avec les limites, vous allez retrouver votre véritable nature essentielle ».

Et c’est cela, que nous te demandons de venir chercher aujourd’hui, pour le ramener sur la Terre dans la conscience humaine, pour l’offrir aux créatures qui ainsi sauront mieux se comporter avec leur propre création .

« Oh vous créatures, souvenez vous du créateur que vous êtes, souvenez vous de la création à laquelle vous avez procédé pour aboutir à votre propre naissance. Oh vous créatures, rappelez vous que vous contenez dans votre chair, l’information du créateur, souvenez vous que la créature est composée de votre création, que rien n’est séparé. La sainte Trinité peut aujourd’hui être unité. »

Voilà, je vois un triangle équilatéral, créateur, création, créature. Trois sphères au sommet du triangle et ces trois sphères se rapprochent, se rapprochent pour ne former qu’une.

Je prends avec joie cette image en mouvement. Ce n’est pas une image fixe, c’est une image en mouvement. Les trois sphères en triangle qui se rapprochent sans cesse pour qu’il n’y ait plus de triangle, il y a juste, une sphère avec différentes couleurs qui s’harmonisent entre elles.

C’est cette image des trois sphères qui se rapprochent pour n’en former qu’une colorée que je dois rapporter ici sur la Terre, pour que l’humanité accède à la vérité totale de sa nature, à la réalité de la vie sur la Terre.

Je suis très émue d’avoir cette mission à remplir aujourd’hui, parce que je sens que c’est dans la compréhension que les humains, de leur propre vie, de leur existence, de leur environnement, des objets qui les entourent, de leur nature dans laquelle ils sont plongés, de leur vie intérieure. Le créateur est à l’intérieur, la créature est faite de sa création.

Je vois la conscience de la Terre complètement intégrée à l’intérieur de moi. On peut dire, la création est totalement à l’intérieur de la créature.

Voilà, les trois sphères, je les ai vraiment en moi. On peut dire, au niveau du c?ur, du plexus solaire, trois sphères dont je sens la spécificité et qui sont mêlées et qui ne sont plus chacune une sphère mais qui peuvent le redevenir, dès lors que je me mets en action.

Est ce que j’ai besoin de sortir de cette conscience ? J’ai cette impression qu’il faut encore une fois dissocier création, créature et créateur pour vivre dans ma condition humaine. Voilà ce que je vais faire, c’est garder les trois sphères mêlées, chacune avec son information précise dans une seule sphère.

Et partout dans la sphère, j’ai les trois informations simultanées. Mais pas besoin de les dissocier, les trois informations sont en moi et je n’ai pas besoin de les dissocier et je sens que je vais essayer de vivre ma journée concrète, dans cette conscience élevée de moi-même. Je crois que je savais déjà cela, mais là je sens que la fréquence que j’en ai vibre sur une autre fréquence.

Je rends grâce. Je m’engage à être à la hauteur de l’enseignement reçu, d’être digne de l’enseignement en maintenant dans ma conscience ces trois réalités de l’humanité, de la création et du créateur, pour vivre chaque instant de la journée et des autres jours.