audio – Rencontre avec les bactéries, les virus et les insectes

medmo 03/07/2019
medmo 03/07/2019

Ces derniers jours, j’ai eu fort à faire avec les insectes : piqûres de tiques, de moustiques, de mouches et autres petites bêtes inconnues ont émaillé mes journées. Je me disais que les insectes me semblaient plus agités que d’habitude, mes jambes dévorées témoignant de l’ardeur d’une catégorie animale souvent mal aimée.

La guidance de ce soir nous a justement conduits à la rencontre du monde des insectes afin que nous les considérions de façon amicale. Pour aller à cette invitation pour le moins surprenante, nous avons été préparés en faisant d’abord connaissance avec le monde des bactéries et des virus. Un pacte d’amitié avec ces deux mondes eux aussi souvent mal considérés nous est proposé.

Le monde spirituel nous donne là une clé pour regarder notre environnement et notre corps avec d’autres connaissances.

Il faut dire que le chemin qui nous a conduits à ces rencontres inédites est passé par un enseignement sur la sainteté, donné directement par les êtres canonisés par les églises.

Transcription faite par Fabienne Jouault, non revue par l’auteur.

Je suis ce que je suis
Je suis présence divine
Je suis amour
Je suis lumière
Je suis énergie et je nage dans le mouvement de la vie

Par ces mots, je me relie à ce que JE SUIS de toute éternité, par ces mots je m’unifie intentionnellement, je fais en sorte que JE SUIS s’unisse à ma condition humaine, que ma condition humaine se hisse au sommet du cône que JE SUIS.
J’invite mon être divin à élever la fréquence de mon corps humain, j’ouvre ma conscience à la divine présence, je me mets à la disposition du monde de l’Esprit, des êtres qui accompagnent l’humanité et la Terre dans l’expérience qu’elle vit, dans leur ascension.

J’accueille l’archange Michaël qui m’aide à être un maître, à accueillir ma puissance, à gérer ma personnalité.
J’accueille le maître Cristal qui consolide ma colonne vertébrale, qui remplit tout mon squelette de sa solidité et de sa présence.
Je suis en lien avec Marie, conscience de la Terre, Mère divine, elle m’offre sa chaleur, son amour, sa protection.
A mes côtés, Jésus mon frère, je suis avec cet être qui a porté le Christ en lui pour que nous, ici, puissions porter le Christ en nous, puissions faire vivre le Christ par l’amour absolu, reconnu en nous.

Je suis parcourue d’ondes de chaleur. J’accueille l’amour en moi, je laisse mes cellules vibrer sur la fréquence que JE SUIS de toute éternité, je fais en sorte que ma condition humaine soit totalement adaptée à ma fréquence la plus élevée, à ma divinité.
Je sens que le vide se fait en moi, un vide qui me permet d’accueillir les effluves de l’Esprit, la puissance de l’amour, la créativité de l’être divin que nous sommes tous et que je reconnais être aussi.
Comme toujours, j’ai la légère crainte de ne pas être capable d’entendre, de recevoir, je doute de ma capacité et j’emmène cette partie de moi qui doute, au sommet de la montagne sur laquelle JE SUIS va remplir les vides. Je hisse toutes les parties de moi qui restent attachées à la pauvreté de la condition humaine telle qu’elle nous a été présentée depuis des siècles, je hisse les parties de moi qui se croient pauvres afin qu’elles voient leur richesse, leur plénitude.
Je hisse les parties de moi qui se croient inférieures afin qu’elles voient leur grandeur, je hisse les parties de moi qui se croient ignorantes afin qu’elles voient l’étendue de ma connaissance contenue dans mes cellules et non point dans mon système cognitif.

Je sens le chakra couronne qui s’ouvre et je sens la lumière violette présente avec moi, avec nous tous. Puissions-nous, chacun de là où nous sommes, en fonction de qui nous sommes, accueillir par notre couronne cette lumière violette qui élève notre conscience, qui ouvre notre conscience à la totalité, à l’immensité, à l’infini, à l’éternité.
Je vois un champ de roses, un immense champ de roses odorantes, chatoyantes, beaucoup de roses blanches, de roses roses, aux couleurs douces, puis quelques roses plus puissantes dans leurs couleurs  : la sainteté, les roses ici symbolisent la sainteté.
La sainteté consiste à se mettre au service de votre divinité. En fait, je suis accueillie par une assemblée d’êtres qui ont été déclarés Saints par les églises quelles qu’elles soient  :
«  La sainteté nous a été attribuée parce que nous avons consacré une grande partie de notre existence à oeuvrer pour la divinité.
Ne croyez pas que sainteté corresponde à un idéal qui vous serait présenté comme un idéal à atteindre. La sainteté, voyez-vous, oh frères et soeurs qui nous écoutez, la sainteté consiste tout simplement à dire oui à votre JE SUIS, à dire oui à l’être divin que vous êtes, à dire oui au créateur qui veut vivre en vous, qui veut exercer sa créativité, son talent de créateur.
La sainteté consiste à vivre l’amour là ou d’autres propositions vous sont faites, telles la peur, la haine, la colère, la tristesse. La sainteté, voyez-vous, consiste à dire oui au Christ qui veut vivre sur la Terre par les humains, âmes incarnées.
La sainteté ne consiste pas à renoncer à votre personnalité, la sainteté, soyez certains de cela, la sainteté consiste à dire oui à la divinité que vous contenez. Bien des humains vous demanderont charité, temps illimité, les richesses matérielles, en aucun cas ne donnez votre temps, vos richesses, votre bonté. Cela n’est pas sainteté, ce qui est sainteté, c’est de donner ce que vous êtes, que vous contenez, ce que vous savez, ce que vous vivez à votre divinité.
L’heure est venue pour ceux qui le désirent de se comporter en Saint, de vivre la sainteté non point pour figurer dans le catalogue que les églises ont constituées, car cela n’est guère intéressant. Ce qui est intéressant dans la sainteté, c’est l’élan que vous donnez à votre prochain pour marcher à vos côtés, pour aller dans la même direction que vous, pour observer l’intuition qui est reçue, pour suivre l’inspiration qui est donnée par le plan de votre divinité.
Nous ne souhaitons pas, nous qui avons été canonisés ainsi que le terme est employé, nous ne souhaitons pas être vénérés car ce qui a été réalisé, au cours de notre existence n’était que l’action inspirée par notre divinité, action à laquelle nous avons dit oui, action qui nous a mis en joie, qui nous a élevés.
Tout ce qui a été ajouté autour de la souffrance, autour des flagellations n’a pas lieu d’être, retenez notre joie et non point ces actions qui ont conduit aux blessures, aux martyres, car cela n’est pas sainteté. Ce qui est saint, c’est la voie de la joie, c’est la voie de l’amour, c’est la voie de l’Esprit à laquelle aujourd’hui vous êtes convié, sans aucun sacrifice, si ce n’est celui que de rendre sacré, tout ce que vous touchez, tous les mots que vous prononcez, tous les actes que vous posez  ».

Je sens que cet enseignement étant donné, nous pouvons passer à une autre étape de notre ascension, à l’élévation de notre fréquence et, de fait, je sens que mon corps s’expanse davantage, qu’une place plus grande est faite à l’intérieur de moi.
Quelque chose d’humain doit être déposé là pour pouvoir poursuivre la montée. Je prends quelques instants pour laisser l’Esprit agir, pour laisser notre JE SUIS imprégner notre corps, investir notre conscience.

Je vois maintenant des êtres blancs, leur lumière est blanche, ce ne sont pas des êtres humains, ce sont toujours des formes oblongues que je vois, il n’y a pas de visage, il y a l’information de ces êtres qui est là. Je vois 3 êtres en conversation, 3 êtres purs Esprits, en conversation, qui forment un triangle. Ils s’écartent afin que nous puissions être au centre, il nous est dit  :
«  Venez au centre de ce triangle afin d’entrer dans le faisceau des rayons que nous émettons. Nous sommes des consciences stellaires, nous sommes des consciences solaires  ».
Alors, les 3 êtres solaires que je vois, il y a Arcturius, Antares et Sirius. Ce n’est pas les astres que je vois mais la conscience de ces astres. Cela m’impressionne beaucoup et cela crée pour moi une sensation au niveau du plexus solaire. Je sens que j’ai quelque chose au niveau du plexus solaire pour recevoir pleinement le rayonnement d’Antares, d’Arcturius et Sirius.
Ces 3 êtres se proposent de nous remplir, de nous donner tout ce dont nous avons besoin notamment, la reconnaissance de nous-mêmes car ce qui nous manque le plus, disent- ils, c’est notre propre reconnaissance. Ce qui nous laisse dans l’ombre de nous-mêmes est cette croyance selon laquelle nous avons perdu notre dignité, notre honneur, notre pureté, notre lumière, et ils disent  :
«  Nous sommes là aujourd’hui pour vous redonner, si vous y consentez, votre dignité, votre honneur, votre pureté, votre lumière. Ouvrez-vous à votre dignité, à votre honneur, à votre pureté, à votre lumière, rien ne fait obstacle à la réception de ces qualités primordiales, constitutives de l’être divin que vous êtes. Il y a encore un opercule dans la conscience de votre dimension humaine qui ferme l’orifice qui vous permettrait de recevoir les informations que nous vous transmettons et qui contiennent votre dignité, votre honneur, votre pureté et votre lumière  ».

Cela me provoque un mouvement d’oscillation pendulaire et je sens que mon corps est en train de s’ouvrir à ce qui est donné, quelque chose lâche, quelque chose s’ouvre. L’opercule qui bouchait l’orifice qui permet la réception, cet opercule s’est enlevé, et ce qui est donné peut donc être ici accueilli. Et ce qui est vrai ici pour moi, l’est aussi pour tous ceux qui sont là, car nous sommes tous des êtres représentatifs de l’ensemble, des êtres symboliques de l’ensemble des êtres archétypiques qui représentons l’ensemble des humains.

Quelque chose est en train de s’installer en moi, d’activer la circulation de l’énergie en moi. Voilà, cela brouille un peu mon système cognitif, je sens que mon raisonnement n’est pas aussi facile donc cela donne plus de possibilités à ma conscience d’accueillir ce qui est donné.
Arcturius, Antarès, Sirius rayonnent de tout leur feux, de toute leur lumière, et je sens qu’il me faut porter attention à mon assise, à toutes les parties de mon corps qui touchent le siège sur lequel je suis assise. Porter attention à mes pieds, à la chaleur intense de mes pieds, je sens que je suis invitée à laisser cette énergie circuler en moi et je sens mon mental qui s’impatiente, un peu comme s’il était insatisfait de ce que je reçois, comme s’il estimait que ce qui est donné n’est pas assez bien pour lui. Alors j’invite mon mental à venir avec moi, dans le centre du triangle formé par ces 3 consciences solaires et je demande à mon mental, s’il veut bien prendre un bain d’esprit avec moi. Voilà, grâce à cette opération, je m’unifie, j’accepte totalement l’instant présent et j’arrête toute évaluation humaine de ce qui était transmis par le monde de l’Esprit.

Le nombre 22 apparaît, j’accueille le nombre 22 sans chercher véritablement à savoir de quoi il est question, si ce n’est que cela me rappelle le nombre des lettres hébraïques de l’arbre des Séphiroth. Il y a quelque chose de la Kabbale qui est là, et le fait de le dire, ouvre quelque chose en moi, une grande ouverture.
J’ai l’impression d’accueillir un grand V à l’intérieur de moi, la pointe inférieure du V est, à peu près, au niveau du nombril et le V s’écarte par les épaules pour s’ouvrir totalement au monde de l’Esprit, au schéma de l’Esprit. Je ressens un bouillonnement intense de lumière qui arrive encore par la couronne.
Voilà, je sens qu’une étape est franchie et qu’une autre va commencer car il y a eu tout d’un coup un noir, absence de lumière, le rideau qui se ferme, et on me demande si je veux bien poursuivre ma progression, on me demande si je veux bien continuer le chemin tel qu’il a commencé, et je dis oui.

Je suis disposée à poursuivre le chemin, guidée par les forces de l’Esprit, éclairée par la lumière infinie, soutenue par l’amour absolu, par Christ incarné dans ma chair. Je sens des vibrations, comme un rail qui vibre et qui part de mon troisième œil et qui appelle à avancer plus loin.
Je dois progresser en suivant ce rail vibrant, je suis propulsée, aspirée, je ne sais pas, en tout cas, je suis mue par la vibration de ce rail qui m’emmène dans un tourbillon de lumière, une tornade blanche.
Par réflexe, je remets ma conscience sur mes pieds et sur mon assise, je sens parfaitement cela, je sens mon corps qui s’expanse, qui entre dans le tourbillon de lumière, j’ai très chaud, je vois du orange, du brun, et je vois de tous petits êtres qui travaillent sur la Terre.

J’ai l’impression que je suis en contact avec les bactéries, avec le monde des bactéries, des virus qui sont au service de la vie, au service des humains. Il s’agit d’aller à la rencontre de ces êtres qui ont une place sur le plan de l’Esprit car ils agissent dans l’infiniment petit, ils sont eux-mêmes, infiniment petits.
Il est question surtout des bactéries qui est un monde que je ne connais pas d’un point de vue humain mais je vois leur oeuvre, notamment dans les intestins. J’ai l’impression que là, on nous propose de passer un pacte d’amitié avec les bactéries. Il est dit par l’entité spirituelle des bactéries (si l’on peut dire ça comme ça) qui se manifeste par les bactéries sur la Terre, et cette entité bactérienne nous dit  :
«  Nous avons une bien mauvaise réputation auprès des humains, alors que notre oeuvre est immense, notre coopération avec vous est sans limite. Nous voulons vous dire combien nous sommes heureuses d’oeuvrer pour vous, combien nous sommes joyeuses de vous aider dans bien des opérations que vous effectuez, sans que votre pensée ne vienne s’en mêler. Nous pouvons dire d’une certaine manière que nous remplaçons votre pensée, là où votre pensée n’a pas à intervenir dans les processus biologiques propres à votre corps.
Nous intervenons à la demande de votre JE SUIS, nous intervenons en coopération avec votre Esprit, nous-mêmes, nous sommes Esprit, ainsi que vous pouvez le voir en cet instant où nous vous parlons depuis les plans les plus élevés de l’univers, depuis la fréquence la plus subtile à laquelle vous retrouvez ce que vous êtes de toute éternité  ».

Je vois comme des sphères rouges, translucides et brillantes comme une groseille mais beaucoup plus transparente. Il m’est donné de voir comme des grappes de petites sphères rouges, très jolies, des petites cellules en fait. Ce sont des bactéries qui viennent prendre place là où nous avons besoin d’elles pour la digestion notamment, mais pas seulement. «  Les bactéries agissent dans bien des fonctions de votre corps, de votre chair  ».
Et donc, il nous est proposé ici de dire oui à l’amitié entre les bactéries et l’humanité.
«  Vous accusez souvent les bactéries d’être responsables de vos maladies, vous pourriez tout aussi bien nous appeler pour vos guérisons car si vous nous identifiez pour déclencher quelques difficultés dans votre corps, quelques fièvres, quelques douleurs, vous pourriez tout aussi bien nous appeler pour régler les problèmes que vous rencontrez. Il y a parmi nous des bactéries bienfaisantes, guérisseuses  ».

Cela me donne très chaud et, surtout, cela ouvre une perspective à laquelle je n’avais pas véritablement pensé, même si je savais ces choses là, un petit peu intellectuellement, je n’avais pas vu comment nous pouvions avoir un pacte d’amour avec le monde des bactéries. Il nous est proposé un exercice pratique par les bactéries. Elles disent  :
«  Vous pourrez, si vous le désirez, avec tous les petits ennuis que vous avez avec votre corps, nous demander d’intervenir pour agir. Nous serions tellement heureuses de passer de cette place décriée à la place plus enviée de bactéries guérisseuses et non plus de bactéries nocives, maladives. Vous pouvez cesser de redouter que nous prenions place à l’intérieur de vous  ».
Il y a une assimilation entre bactéries et microbes et je pense que le mot le plus souvent employé est «  microbes  » mais que le mot exact est «  bactéries  » mais je ne sais pas s’il y a une différence entre les deux.

Et donc, l’autre famille qui nous attend, ce sont les virus. Les virus qui eux, cultivent leur existence pour pouvoir intervenir à notre service. Ils se sacrifient lorsque cela est nécessaire pour déclencher en nous un processus de guérison qui apparaît aux humains comme une maladie, mais, en réalité, «  il s’agit de processus de guérison, de transformation, de renforcement de vos défenses, car lorsqu’un virus se sacrifie pour venir en vous, cela déclenche immédiatement en vous une mobilisation de votre puissance de guérison. Nous intervenons pour que vous vous renforciez, mais vous avez la vision de votre affaiblissement et vous ne voyez donc pas que votre affaiblissement est là pour que vous mobilisiez vos forces  ».
Alors eux, ils ne sont pas du tout comme des formes sphériques, je les vois comme des tous petits bâtonnets, un tiers d’une allumette de base, mais c’est plutôt comme si c’était de la glace, c’est un peu givré, c’est blanc. Et eux, viennent se placer dans notre corps au fur et à mesure que nous avons besoin d’eux, et un certain nombre d’eux, effectivement, peuvent provoquer une réaction de défense du corps.
Lorsqu’ils viennent dans le corps d’un humain, ils sont comme «  emprisonnés  » d’une certaine manière, ils ne sont pas dans leur biotope favorable, ils sont dans un milieu carcéral et ils nous invitent à savoir, que c’est pour nous servir qu’ils acceptent de se laisser enfermer comme ils le font.
Et, de la même manière, qu’il nous a été proposé de pactiser, d’avoir un pacte d’amitié avec les bactéries, il nous est proposé d’avoir un pacte d’amitié avec les virus. Et je vois comme une espèce de hiérarchie dans les virus. Il y a les virus de base avec lesquels on n’a pas trop de confrontation, c’est plutôt une cohabitation amicale, puis des virus intermédiaires qui peuvent provoquer des maladies et il y a des virus qui sont plus élevés, plus sévères, qui, eux, quand ils viennent dans le corps d’un être humain, eux, on peut dire, prennent en charge une problématique très grave et provoquent aussi des effets très graves. Mais il faut savoir que cette problématique grave provoquée par notre présence a vocation à réveiller la conscience de celui qui nous héberge.
Je vois une lumière bleue comme une poutre bleue acier, bleu nuit, brillant. Je suis un peu pantoise devant ces considérations.

Je sens que là, je suis devant un monde qui s’ouvre devant moi, des perspectives qui s’ouvrent et que je n’avais pas envisagées, le pouvoir d’avoir une maîtrise de cela  : d’avoir la maîtrise de notre relation avec les virus et avec les bactéries, de ne plus les subir mais de les inviter à agir avec nous lorsque nous avons besoin de ces êtres. Il est dit qu’en fait, il y a un lien avec les intelligences de la nature  :
«  Ce qui est relatif aux intelligences de la nature est votre jardin, les bois, les rivières, tout le monde minéral et végétal, animal est concerné par les intelligences de la nature. Là, de la même manière qu’il y a les intelligences de la nature, il y a le monde de l’infiniment petit avec les bactéries et les virus.
Et de la même manière que vous pouvez coopérer avec les elfes, les ondines, les fées, les dragons, vous pouvez aussi coopérer avec les bactéries et les virus. Il y a un parallèle étroit entre les intelligences de la nature et le monde viral et bactériologique. Il s’agit de reconnaître l’intelligence des bactéries et l’intelligence des virus.
Ce ne sont pas des prédateurs qui attaquent froidement sans raison, ce sont des êtres intelligents qui sont totalement au service de l’être humain. Un autre regard sur la maladie devra être porté bientôt, mais cela est encore un peu tôt. Mais, déjà lorsque nous parlons de notre action, le monde des bactéries et des virus, cela ouvre de nouvelles portes vers la compréhension de la coopération entre le monde humain et le monde de l’infiniment petit, le monde de l’organique, où vivent les bactéries et les virus. Ils sont aussi à mettre en lien avec les insectes  ».

On me propose de les regarder aussi avec amitié. Je suis étonnée de la puissance qu’ils ont à provoquer des lésions, des boutons, des démangeaisons, des maladies. Mais, ils sont, eux aussi, à notre service. Rien à voir avec les bactéries et les virus et pourtant il est dit  : «  Le monde des insectes est très actif actuellement. Il y a une recrudescence de l’action du monde des insectes  », et c’est cela que je ressens, je me sens face à quelque chose de grand, dans le monde des insectes. Il m’est montré, effectivement, une collection d’insectes dans une prairie comme s’il était important que chaque insecte soit reconnu, répertorié et préservé.
«  Les humains ont beaucoup détruit le monde des insectes, croyant que ce monde était responsable de bien des misères, de bien des difficultés et bien notamment avec votre agriculture. Vous avez adopté un comportement de prédateur avec les insectes, c’est pourquoi ceux qui restent aujourd’hui sont poussés à adopter une attitude quelque peu guerrière, quelque peu offensive.
Il vous est possible de regarder cette offensive de ce monde des insectes en tant que manifestation d’un appel, en tant qu’alerte donnée à l’humanité par le monde du vivant. C’est en fait le corps éthérique de la Terre qui s’active et qui fait que les organismes vivants sont agités. Il y a une certaine agitation qui peut vous sembler être de l’énervement. C’est le cas chez les insectes et cela pourrait annoncer, si vous ne changez pas le comportement humain, si vous continuez à être des prédateurs avec les insectes, alors c’est le monde des bactéries et des virus qui viendra frapper à votre porte, pas forcément de façon amicale, mais de façon à vous réveiller. C’est pourquoi nous vous proposons de passer aujourd’hui un pacte d’amitié avec les bactéries et les virus, de même que vous pouvez passer un pacte d’amitié avec les insectes  ».

C’est très surprenant tout cela. Je comprends mieux pourquoi les insectes sont si présents dans ma vie ces jours-ci. Et je comprends mieux ma perception de cette agitation de ce monde des insectes. Et là, je vois au-dessus de ma tête, dans l’énergie, dans le monde de l’Esprit une couronne d’insectes. Il y a des abeilles qui sont vraiment là pour nous dire que le monde des insectes n’est pas quelque chose de moins noble que l’homme.
Cela me gratte au-dessus de ma tête et je sens que nous devons accueillir chacun de nous, une couronne d’abeilles au-dessus de notre tête pour être couronné par le monde des insectes et ainsi accepter notre cohabitation sur la Terre avec le monde des insectes, ceux qui restent, car beaucoup ont disparu de la surface.
Voilà, quelque chose s’évacue de mes croyances, de mes schémas anciens. Il m’est montré ces hôtels à insectes qui existent maintenant pour honorer les insectes et les reconnaître et les inviter. Il y a vraiment plein de nouvelles perspectives qui s’ouvrent, me semble-t’il, pour la conscience des humains avec ces trois mondes qui nous sont présentés ce soir.

On nous propose d’ouvrir la bouche, dans l’énergie, mais on peut aussi le faire physiquement, on peut laisser la bouche ouverte sans avoir peur. C’est laisser les échanges se faire avec le monde du vivant, si notre bouche est ouverte alors nous ne nous protégeons plus et il s’agit bien de cela, de ne plus se protéger du monde des bactéries, du monde des virus, du monde des insectes mais d’être en partenariat avec les trois mondes.
Les abeilles se proposent vraiment d’être à notre service pour nous apprendre à vivre avec les insectes, nos abeilles qui sont nos amies, les ambassadrices de la galaxie d’Andromède et ces abeilles qui sont là, pour nous enseigner la manière de vivre le monde de demain, les abeilles nous proposent d’être nos guides pour coopérer avec le monde des insectes.

Tout à coup, cela me fait apparaître ce que je fais pour me protéger des insectes, bien souvent, et je me dis que si je dois renoncer à faire tout cela, c’est vraiment un gros changement pour moi. Et j’entends justement une mouche qui bat des ailes car elle est certainement en train de mourir, et j’aimerais beaucoup être guidée, à avoir une coopération avec les insectes qui fasse que je ne suis pas obligée de m’en débarrasser, de les tuer, pour me sentir en sécurité.
Donc, je demande aux abeilles de bien vouloir me guider dans cette coopération pour aller vers la sainteté, effectivement. On me dit que les trois consciences solaires qui étaient là  : Arcturius, Antarès et Sirius me disent que nous avons reçu quelque chose, comme un «  coup de massue  » sur la tête, quelque chose qui est un petit peu révolutionnaire pour la conscience humaine. Il nous est dit  :
«  Il n’y a pas à édicter de règles pour ressembler à un idéal à partir duquel vous pourriez être des Saints, car ce que nous avons transmis aujourd’hui pourrait donner lieu à un dogme que vous essayeriez d’appliquer. Ceci n’est pas du tout l’objectif de cette transmission.
L’objectif de cette transmission est bien que vous puissiez regarder comment entrer en partenariat avec des mondes que vous croyez hostiles. Ce qui vous parait hostile aujourd’hui, est en réalité, une aide qui vous est apportée, et c’est cela que nous vous invitons à amorcer dans votre conscience, une nouvelle vision est à amorcer dans votre conscience.
Surtout n’érigez pas, n’édictez pas de règles pour tenter de ressembler à l’être spirituel qu’il faut être car cela serait à l’inverse de la sainteté sur laquelle nous vous avons enseigné. Il s’agit juste de mettre un point d’interrogation là où vous aviez des certitudes. Il s’agit simplement de regarder autrement et de voir ensuite ce que vous ressentez, ce que vous avez envie d’expérimenter. Ne vous précipitez pas sur une règle toute faite, au contraire, laissez-vous la possibilité de transformer en vous ce qui peut être transformé.
Ne décidez rien mentalement, laissez l’expérience arriver et vivez-la en toute simplicité, dans la joie, sinon vous allez faire une nouvelle religion  : la religion des insectes, la religion des virus, la religion des bactéries, et cela ne serait absolument pas amusant de là où nous sommes  ».

Je sens que les 3 êtres sont entrain de clore leur concertation, de nous libérer et je demande s’il y a autre chose, s’il y a une autre action à mener, une autre information à recevoir et on me dit  : c’est tout pour ce soir.
Je remercie, je rends grâce pour tout ce qui a été donné, pour les perspectives qui viennent de s’ouvrir, je rends grâce aussi aux humains, qui sont là, qui ont été là et qui seront là. Merci.